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La Collection gore et maniac

4 juin 2006

Rajout du lien vers le site de Jean-Pierre Andrevon

Nouvelles du site pour le 11 Juin 2006:

En ce moment, votre webmaster si présent est en train de finir "Un festin de rats" de Berma. Il s'agit bien évidemment du numéro 2 de la collection Maniac. Dès que possible, sa critique sera placé en même temps que les livres déjà lus sur le site. Il s'agit d'un livre écrit gros et dont les influences font penser à "Willard" et "La nuit de la mort" (celui avec Charlotte de Turckeim).

L'avancée de la semaine va être le rajout dans les liens du site de Jean-Pierre Andrevon, auteur de "Cauchemars de sang" et de "Comme une odeur de mort".

Le traitement des emails entrants de la boite aux lettres s'est fait jusqu'ici sans problème: je n'ai pas eu de messages!

L'adresse email est toujours la suivante:

collectiongore@hotmail.fr

Allez, je retourne à mes lectures et à mes chroniques!

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31 janvier 2006

Auteur: John Raymond Brosnan (1947-2005)

Cet auteur est né en Ausralie, mais a vécu dans et autour de Londres durant plusieurs années. Ses écrits sont apparus sous les noms John Brosnan, James Blackstone (en collaboration avec John Baxter), John Raymond, Simon Ian Childer (en collaboration avec Leroy Kettle), et Harry Adam Knight (également en collaboration avec Kettle). Il publia au moins 14 romans, généralement en séries de 2 ou 3 livres. Ses essais sur le cinéma comprennent Movie Magic: The Story of Special Effects in the Cinema et James Bond in the Cinema.

Il a été actif dans le fanzinat de science-fiction pendant près de 40 ans, et publia les fanzines Why Bother, Scabby Tales, Scab, Big Scab, Son of Why Bother.

Il a été trouvé mort seul, à sa maison dans le South Harrow. Celui-ci avait souffert de plusieurs problèmes de santé les dernières années de sa vie.

Bibliographie prévisionnelle:

Séries

Sky Lords
1. The Sky Lords (1988)
2. War of the Sky Lords (1989)
3. The Fall of the Sky Lords (1991)

Damned and Fancy
1. Damned and Fancy (1995)
2. Have Demon, Will Travel (1996)

Mothership
1. Mothership (2004)
2. Mothership Awakening (2005)

Romans
Skyship (1981)
Midas Deep (1983)
Torched (1986) (writing as James Blackstone)
The Opononax Invasion (1993)

Essais
James Bond in the Cinema (1972) (see Ian Fleming)
Movie Magic: The Story of Special Effects in the Cinema (1974)
The Horror People (1976)
Future Tense: The Cinema of Science Fiction (1978)
Hollywood Babble on (1989)
The Primal Screen: A history of science fiction film (1991)
Lights, Camera, Magic! (1998)
Scream (2000)
The Hannibal Lecter Story (2001) (see Thomas Harris)

Anthologies contenant des histoires de John Brosnan
Antigrav: Cosmic Comedies by SF Masters (1975)
Magic for Sale (1983)

Nouvelles
Junk Shop (1968)   
Conversation on a Starship in Warpdrive (1975)   

8 novembre 2005

Titres de la collection Maniac jamais parus

Voici les huit titres annoncés comme "à paraitre" de la collection Maniac. La collection s'est arrêté au numéro 8 mais certains livres sont parus tout de même dans la collection Gore plus tard.

DEVAIT PARAÎTRE DANS LA COLLECTION:

9- Dîner de têtes - Béhémoth

10- Symbiose effroyable (Peut être Blood Sisters en VO)  - Mark Manley

11- La chair sous les ongles - François Sarkel

12- Greffes profondes - J.S. Tremens

13- Ivresses sanglantes (Bloodthirst en VO) - Mark Ronson

14- Le fruit de vos entrailles - Marco Talma

15- Possessions (Hellborn en VO) - Gary Brandner

16- Lésions irréparables - Béhémoth

25 septembre 2005

Gore: Interview de Richard D. Nolane, auteur du gore n.118

richard_d.nolane

Richard D. Nolane

(Photo: Sabine Larroque)

Richard D. Nolane (de son vrai nom Olivier Raynaud) est un être polyvalent. Il se définit sur son site comme: "Auteur, traducteur, scénariste BD, anthologiste, rédacteur en chef de revues et directeur de collection à temps plein depuis le début des années 1980." Sur cette présentation fournie pourrait être ajouté dernier auteur publié dans la collection Gore avec les "Démons d'Abidjan". Chose qui aurait pu ne pas se faire comme il l'explique si bien dans cette interview. A vous la parole, M. Nolane!

- Comment avez-vous été amené à rédiger les "Démons d'Abidjan" pour la collection gore?

La première version de ce roman, plus longue et pas conçue comme un «Gore», avait été écrite au début des années 1980 pour un projet de série, avec d’autres personnages principaux du type détective de l’occulte, destiné à Plon/Gérard de Villiers et qui ne s’est pas fait. Mais cela m’a fait entrer dans la maison puisqu’on m’a confié ensuite la rédaction de la série Blade qui venait de s’arrêter aux USA. Ce n’est que plus tard que je me suis dit qu’il y avait peut-être là de quoi faire un livre pour «Gore» et je l’ai repris de A à Z en changeant les personnages. Mais le problème était que Daniel Riche m’avait mis sur sa liste noire après la critique terriblement négative que j’avais fait des quatre premiers titres dans la revue Fiction et j’ai cru comprendre qu’il a jeté directement mon manuscrit à la corbeille sans l’avoir même ouvert dès qu’il a vu mon nom dessus... Ce n’est que lorsque j’ai appris l’arrivée de Juliette Raabe à la direction que j’ai tenté à nouveau ma chance.

- Vous avez situé votre roman en Côte d'Ivoire. Or, il semble que vous y ayez vécu. Vous êtes vous inspiré de votre propre expérience pour écrire ce livre?

Oui, j’ai habité deux ans à Abidjan, de 1968 à 1970. Une expérience extraordinaire. C’est dire à quel point je suis horrifié de voir ce qui se passe en Côte d’Ivoire… Je me suis donc inspiré de tout ce que j’avais vu en le remettant à niveau pour que cela se passe dans la fin des années 1980. Je n’ai guère eu de difficultés car j’ai toujours gardé le contact avec des amis vivant là-bas.


- A la lecture du livre, il est fait de manière omniprésente référence à la corruption existante dans le pays. Etait-ce une manière de dénoncer le comportement des autorités de l'époque que de la mettre au coeur du livre ?

Tous ceux qui ont séjourné en Afrique savent que la corruption y règne d’un bout à l’autre de la chaîne sociale. Elle fait partie du paysage. Pour donner un simple et édifiant exemple, lorsque nous étions à Abidjan, il y avait toujours une cartouche de cigarettes américaines dans la boîte à gants de la voiture car c’était un des bons moyens d’amadouer les policiers sur la route. Des policiers qui ne touchaient pas régulièrement leur maigre solde et qui n’avaient pas les moyens de se payer ce genre de cigarettes alors que nous, nous les avions détaxées…  Pour tout, c’était comme ça ! Le bakchich et le trafic d’influence sont des institutions… J’ai lu quelque part que la corruption aurait baissé ces dernières années en Afrique. J’avoue que j’ai cependant un peu de mal à y croire compte tenu de ce que je vois aux informations et de ce que je sais par les gens que je connais là-bas…


- La créature de votre roman est en fait issue d'une malédiction appelée "Les six visages du Djéti-tié"? Est-ce de votre invention ou cette légende existe-t-elle vraiment?

C’est de mon invention. Une sorte de clin d’œil à toutes les histoires d’aventures africaines plus ou moins mâtinées de fantastique qui ont bercé ma jeunesse.


- Plusieurs romans de la collection ont été coupés pour être au format de la collection. Est-ce le cas pour votre livre?

Coupés ? Le mot est faible… Pour certains, on peut parler de passage à la tronçonneuse ! C’était d’ailleurs un des points que j’avais dénoncé (plutôt vigoureusement) dans la critique de Fiction qui m’a brouillée avec Daniel Riche. En ce qui concerne Les démons d’Abidjan, je l’ai envoyé au format. Mais Juliette Raabe m’a demandé de rajouter quelques passages «saignants» car elle trouvait que c’était un peu court de ce côté-là… Mon «Gore» est donc un des rares à avoir été rallongé ! Et, aux dires de certains, également un des rares à avoir une véritable intrigue. Mais peut-être est-ce justement parce que le texte originel avait été conçu comme un thriller fantastique et non comme une succession de scènes de boucherie reliées entre elles par un vague fil conducteur…

- Vous dédicacez ce roman à S.K. Sheldon, première auteur féminine de la collection. A-t-elle participé à la conception de ce livre?

S. K. Sheldon, alias Élisabeth Campos, était devenue ma femme en 1990, voilà tout ! À l'époque où elle avait envoyé son roman, nous n'étions pas encore mariés mais elle avait soigneusement caché notre relation à Daniel Riche, histoire qu'il ne suive pas le mien à la corbeille...


- Avez-vous été en rapport avec Juliette Raabe, directrice de la collection à cette époque. Et si oui, quels en sont vos souvenirs?

Oui, nous nous sommes même vus à Paris une ou deux fois. C’est quelqu’un de charmant et de compétant. Une véritable directrice de collection qui aimait et connaissait bien la littérature populaire. Nous avons évoqué l’idée que Les démons d’Abidjan soit le début d’une petite série tournant autour d’histoires typiquement africaines mais la mort brutale de la collection a mis fin à l’affaire. Mon roman a d’ailleurs bien failli ne pas sortir. Il était prévu pour le mois de septembre 1990 mais, au dernier moment Juliette Raabe, qui ne savait pas alors que sa direction avait décidé d’arrêter la collection, l’a avancé au mois de juillet car la Côte d’Ivoire faisait parler d’elle dans l’actualité, déjà pour des troubles graves. On peut dire que j’ai été sauvé par le gong !


- Enfin, vous restez très actif dans l'écriture. Quels sont vos projets en ce moment?

Je n’ai jamais cessé d’être auteur, traducteur et scénariste de BD professionnel à plein temps En ce moment, la BD domine mes activités. En novembre doit sortir le T3 de ma série de fantastique historique  Millénaire aux Humanoïdes Associés et en janvier 2006, ce sera au tour du T2 de Russell Chase, toujours chez les Humanos, une série mêlant aventure moderne et cryptozoologie. En novembre, je publie également  Les énigmes de l’étrange, un livre en collaboration avec Yves Lignon et Jocelyn Morrison aux éditions First. Ce sera mon septième essai sur le Paranormal et autres mystères, une de mes autres passions.

Merci beaucoup , monsieur Nolane!

P.S: Cette interview n'est pas copyrighté. Toutefois, je compte sur l'honnêteté des lecteurs pour me demander ainsi qu'à monsieur Nolane l'accord pour la reproduction partielle ou entière de cette interview. Merci!

31 juillet 2005

Gore: Interview de Brice Tarvel, auteur du gore n.117

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Brice Tarvel

Brice Tarvel, encore surtout connu pour ses scénarios de bandes dessinés telles que Mortepierre, a également écrit de nombreuses nouvelles et romans. Parmi ceux-ci, cinq sous le pseudonyme de François Sarkel. C'est sous ce nom qu'il écrivit "La chair sous les ongles" . Première interview du site et découverte d'un auteur. Souhaitons un avenir plein de romans à venir à monsieur Tarvel.

- Vous avez écrit ce livre comme les autres parus au fleuve noir sous le pseudo François Sarkel. D'où vient ce nom de plume? 

J’écris dans des genres très différents et pour des supports tout aussi variés, alors je choisis des pseudos afin de cloisonner un peu. Par exemple, pour l’hebdomadaire « Nous Deux » (on est très loin du gore), j’ai eu entre autres le pseudo de Roseline Joncel. Ces noms d’emprunt sont choisis comme la plupart de ceux de mes personnages, uniquement à la sonorité. François Sarkel n’échappe pas à la règle, sauf que François est mon second prénom à l’état civil.

- Comment avez-vous été amené à écrire "La chair sous les ongles"?

On parlait beaucoup de cette collection à l’époque. C’était comme une sorte de coup de poing dans le monde de l’édition de romans populaires. Je voulais depuis très longtemps tâter du roman, mais je me trouvais englué dans la BD et ne disposais pas du temps nécessaire pour m’atteler à la tâche. Et puis, brusquement, je me suis retrouvé sans boulot, de sorte que j’ai pu me mettre à écrire ce que je souhaitais vraiment. Je l’ai fait seul dans mon coin, sans que personne sache et attende quoi que ce soit, tout comme le roman de SF « Dépression » qui a suivi, puis j’ai envoyé par la poste. Si j’ai choisi de pondre un gore, c’est sans doute parce que je sortais d’une longue collaboration avec les éditions catholiques Fleurus et qu’il me fallait grandement changer d’air. Je venais de lire un bouquin sur le cannibalisme (éditions J’ai lu, « L’aventure mystérieuse ») dans lequel il était question d’un type possédant un estomac de taille monstrueuse. Je suis parti de là, puis ai écrit sans plan, sans rien d’autre, en improvisant comme je le fais presque toujours.

- Etrangement ce roman a été annoncé comme le numéro 11 de la collection Maniac en 88 pour finalement sortir dans la collection gore EN 90, ce relais s'est-il fait facilement?

Le roman fut envoyé au Fleuve Noir et atterrit entre les mains de Daniel Riche, qui était le  directeur de collection. Comme il se trouvait sur le point de partir chez Patrick Siry qui montait sa propre maison d’édition, il a emporté le manuscrit avec lui pour le faire paraître dans la collection Maniac. C’est ainsi que « La Chair sous les ongles » fut annoncé avec le numéro 11 chez Siry. Si j’ai bien tout compris, Patrick Siry est malheureusement tombé dans une sorte de traquenard qui l’a obligé à mettre prématurément la clé sous la porte, si bien que mon roman n’est jamais sorti chez lui. Il ne me restait plus qu’à le réexpédier au Fleuve Noir, ce que je fis. Juliette Raabe, nouvelle directrice de la collection gore, l’accueillit sans problème et avec sa gentillesse habituelle.

- Votre roman se déroule dans la région Rémoise. Vous êtes vous inspiré de lieux que vous connaissez?

Je suis né, vis à Reims, et sûrement que j’y serai enterré. Les romans se déroulant à Reims n’étant pas si nombreux, j’ai choisi ma bonne ville pour cadre. Une telle débauche d’horreurs dans une cité si paisible, je trouvais cela d’autant plus amusant. Et puis, comme il me fallait déjà improviser, je supprimais le problème de la documentation. Le roman se passe même dans le quartier où j’habite. Le roman « Silence rouge » (collection Angoisses du Fleuve Noir), que j’ai écrit peu après et qui devait être mon second gore, se déroule lui aussi à Reims, dans le quartier de mon enfance.

- Les romans de la collection gore sont réputés pour être "coupés" ou "remaniés" pour le format. Est-ce le cas de votre livre?

Non. Par crainte de la censure, Juliette Raabe m’a seulement demandé de remplacer par une vieille femme la fillette que je faisais trucider par mon vorace héros. Est-ce mieux de tuer une vieille qu’une gamine ? Probablement que oui, mais bon…

- Votre roman parle de passage à l'âge adulte du héros Gilbert Joussin en quelque sorte. Etait-ce un thème conscient?

Non, pas du tout. Rien qu’un effet de cette fameuse improvisation.

- Le cannibalisme est un thème souvent employé dans les livres de la collection gore. Ce thème vous a t il été imposé?

Rien ne m’a été imposé. J’ai expliqué plus haut comment cela s’est passé.

- Avez-vous côtoyé la directrice de la collection Gore de l'époque, Juliette Raabe. Et si oui, quels en sont vos souvenirs?

C’est une dame charmante, pas du tout le genre de personne qu’on imagine à la tête d’une collection gore. Nous nous sommes téléphonés plusieurs fois, puis je l’ai rencontrée brièvement – trop brièvement – à la brasserie de la gare de l’Est. Elle a bu un thé, m’a fait ironiquement remarquer que l’aurais pu payer l’addition juste avant qu’on se sépare. Je n’étais guère riche à l’époque (cela n’a pas beaucoup changé depuis) et je planais un peu à cause de tout ce qui m’arrivait. Ce sont mes seules excuses.

- Depuis votre carrière s'est tournée vers la scénarisation de bandes dessinées. Quels sont vos projets actuels?

Après mes trois premiers romans, la BD m’est retombée dessus. C’est plus facile d’écrire un scénario de BD et ça paye mieux, tout simplement. Mais je préfère mille fois le roman. Mon pseudo Brice Tarvel est devenu un peu connu grâce à la BD, de sorte qu’à présent je n’utilise plus que celui-ci pour tout ce que j’écris. J’ai trouvé le temps de pondre deux romans d’aventures fantastiques en 1995 pour le Fleuve Noir (« La Vallée truquée » et « Les Chasseurs de chimères » - collection Aventures et mystères). Un troisième est demeuré dans un tiroir après l’arrêt de cette collection. Depuis, rien que des nouvelles et des petits récits pour la jeunesse, et puis mes séries de BD, bien sûr. Quand le remplissage des bulles m’en laisse le temps, je suis toutefois en train d’écrire un gros bouquin de SF qui reprend, sous une forme différente, le thème de ma série BD « Sylve », qui a été stoppée à la suite de la défaillance du dessinateur travaillant dessus. Plusieurs tomes sont prévus, mais trouver le temps d’écrire tout cela ne sera pas facile. En tout cas, mon désir de bosser au maximum sur des romans de toutes sortes est énorme.

Merci beaucoup, monsieur Tarvel!

P.S: Cette interview n'est pas copyrighté. Toutefois, je compte sur l'honnêteté des lecteurs pour me demander ainsi qu'à monsieur Tarvel l'accord pour la reproduction partielle ou entière de cette interview. Merci!

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14 juillet 2005

Traduction de The Howling III: Echoes et différences

howlingiii

(Parution prévue en Août)

14 juillet 2005

Traduction de Return of the Howling et différences

returnhowling

( Parution prévue pour Août)

14 juillet 2005

Traduction de The Howling et différences

howling

(Parution prévue en Août)

9 juillet 2005

Maniac 1: Victimes - Shaun Hutson

maniac1

"Frank Miller avait toujours aimé la mort. Ses prothèses, ses masques et ses corps mutilés en mousse de latex étaient tellement réalistes que tous les producteurs de films d'horreur faisaient appel à lui. Seulement, un jour, Frank perdit un oeil sur un plateau de cinéma en voulant régler un effet spécial. Une greffe le lui rendit mais rien, désormais, ne fut plus comme avant. Car l'oeil greffé de Frank Miller voyait au-delà de la vie, au-delà de la mort. Il voyait les victimes à venir du plus pervers des assassins... Et c'était un spectacle dépassant en horreur tout ce qu'il aurait pu imaginer."

Titre original anglais: Victims

9 juillet 2005

Maniac 2: Un festin de rats - Berma

maniac2

"Après tout, c'était sa faute!

Mathilde n'aurait pas dû poser tant de questions embarassantes. Ainsi, Louise n'aurait pas été contrainte de la livrer en pâture à ses chers protégés et la vie, aux "Ormes", aurait continué comme avant... Enfin, presque, car Louise n'était pas seule à jouer avec la vie des autres dans cette maison de retraite pour vieillards fortunés. D'autant que Christian, le directeur, avait appris son métier dans de bien peu avouables circonstances. Et si les "Ormes", ce manoir au nom si tranquille, n'était que l'antichambre de l'enfer?"

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